J'ai l'impression d'être devenue plus humaine.
Oh, pas beaucoup, juste un peu, mais cela suffit à changer des choses.
Je m'attache à des personnes, et j'affronte presque sans honte les sentiments qui me font désirer être unique pour ceux que j'aime.
Je regarde des matchs de foot ou de hockey en hurlant, parfois.
J'exprime des sentiments et je m'autorise à les ressentir.
Il m'arrive toujours d'analyser tellement mes sentiments qu'ils n'ont plus la moindre signification.
Je ne sais toujours pas où je dirige mes pas, mais j'arrive à faire des choix pour dessiner un avenir qui puisse me plaire.
J'exagère toujours tout, mais maintenant on comprend que c'est loin d'être du premier degré.
Je décide toujours d'aimer ou non quelqu'un au premier regard, mais je peux changer d'avis.
Je n'arrive pas à m'appuyer sur quelqu'un d'autre que moi.
Je pleure toujours quand quelqu'un m'épaule gratuitement.
J'ai envie d'avoir des enfants pour fouiller les librairies à la recherche des albums qui m'ont marquée enfant.
Je suis toujours amoureuse de mon copain, mais des fois j'en ai marre.
Je ne sais pas dans quelle matière je veux faire mon master.
Je ne sais pas dans quel pays j'aimerais partir en échange.
J'aime les quelques secondes qui précèdent la publication des notes d'examens sur internet, quand ça rame, et qu'on appuie sur F5 toutes les secondes.
Un examen échoué pour cause d'absence due à la pire gueule de bois du monde : c'est nul.
Un examen bien réussi malgré l'absence de révisions et l'absence à la moitié des cours : pas mérité, mais jubilatoire.
Un examen hyper bien réussi malgré une haine prononcée pour cette manière : mortellement jubilatoire.
Oh, pas beaucoup, juste un peu, mais cela suffit à changer des choses.
Je m'attache à des personnes, et j'affronte presque sans honte les sentiments qui me font désirer être unique pour ceux que j'aime.
Je regarde des matchs de foot ou de hockey en hurlant, parfois.
J'exprime des sentiments et je m'autorise à les ressentir.
Il m'arrive toujours d'analyser tellement mes sentiments qu'ils n'ont plus la moindre signification.
Je ne sais toujours pas où je dirige mes pas, mais j'arrive à faire des choix pour dessiner un avenir qui puisse me plaire.
J'exagère toujours tout, mais maintenant on comprend que c'est loin d'être du premier degré.
Je décide toujours d'aimer ou non quelqu'un au premier regard, mais je peux changer d'avis.
Je n'arrive pas à m'appuyer sur quelqu'un d'autre que moi.
Je pleure toujours quand quelqu'un m'épaule gratuitement.
J'ai envie d'avoir des enfants pour fouiller les librairies à la recherche des albums qui m'ont marquée enfant.
Je suis toujours amoureuse de mon copain, mais des fois j'en ai marre.
Je ne sais pas dans quelle matière je veux faire mon master.
Je ne sais pas dans quel pays j'aimerais partir en échange.
J'aime les quelques secondes qui précèdent la publication des notes d'examens sur internet, quand ça rame, et qu'on appuie sur F5 toutes les secondes.
Un examen échoué pour cause d'absence due à la pire gueule de bois du monde : c'est nul.
Un examen bien réussi malgré l'absence de révisions et l'absence à la moitié des cours : pas mérité, mais jubilatoire.
Un examen hyper bien réussi malgré une haine prononcée pour cette manière : mortellement jubilatoire.
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