J'aime V. et c'est bien justement ce pour quoi j'ai peur que ses sentiments changent.
V. a un joli prénom.
V. a de belles mains.
V. est quelqu'un avec qui faire l'amour est très bien.
V. me fait rire.
V. est gentil. Enfin, pas gentil péjoratif. Attentionné. Attentif.
Je ne me demande jamais s'il a un cerveau.
Je peux continuer ainsi des heures.
Mais vous savez bien, la liberté d'expression un peu censurée par le fait qu'il puisse peut-être lire. Alors V. est, V. a, mille choses de plus qui pourtant ne pourraient pas expliquer pourquoi je l'aime autant.
J'ai peur de ce que je peux dire, car peut-être je suis totalement à côté du vrai. Je pourrais dire qu'avec V., comme jamais, je me sens respectée, acceptée, aimée... mais peut-être qu'il me ment.
Depuis deux ou trois semaines, je m'entends bien, franchement, oui, bien, avec K. qui est dans la section d'A. et qui s'était amusée toute l'année à me contredire tout le temps...
Il y a deux ans (deux ans, déjà, deux ans), elle et son copain, je disais la Belle et la Bête, méchante que je suis, que j'étais, je ne sais plus. Jolie, elle l'est K., et même, quand elle et A. se mettent à parler de sujets d'initiés qui me dépassent, biochimie, fesses de leurs assistants d'informatique, ou autre, je m'occupe à la regarder. Même si elle ne m'attire pas, je trouve à admirer parfois.
A. dit : "Luce regarde beaucoup les filles.". Je ne l'ai jamais caché. V. qui loge sa tête entre mes seins, je l'envie, je voudrais être à sa place. Et pas seulement. Aimer vraiment une fille, je ne sais pas. Avoir envie de faire l'amour à une femme, oui, mais l'aimer vraiment, je ne sais pas.
Des envies de voyager. De dire que ceux qui ont le plus peur de mourir sont ceux qui vivent le moins, et de prendre l'avion sans me poser de questions. De citer Mano Solo : "Qui n’échangerait pas cent ans d’ennui contre trente-cinq ans de vie ?".
Et C. qui m'a fait écouter son cd des Cowboys Fringuants l'autre jour. C'est bien.
Le copain de ma soeur qui va m'aider un peu en physique en me faisant faire des oraux d'entraînement.
Pour en revenir à la même conclusion : ma vie actuelle j'l'aime bien. J'y tiens comme elle est. Je veux pas qu'elle change.
Ce canton, c'est, en cumulant, l'endroit où j'ai le plus vécu. De dix à quatorze ans, puis de dix-neuf à vingt-et-un. Et c'est sans doute l'endroit où j'ai envie de rester. Même si je n'en suis pas. Même si quand V. me dit que j'ai batoyé toute la nuit, faut que je réfléchisse pour savoir ce qu'il a voulu me dire, même si des fois quand il me dit quelque chose, avec son accent j'y comprends rien.
V. a un joli prénom.
V. a de belles mains.
V. est quelqu'un avec qui faire l'amour est très bien.
V. me fait rire.
V. est gentil. Enfin, pas gentil péjoratif. Attentionné. Attentif.
Je ne me demande jamais s'il a un cerveau.
Je peux continuer ainsi des heures.
Mais vous savez bien, la liberté d'expression un peu censurée par le fait qu'il puisse peut-être lire. Alors V. est, V. a, mille choses de plus qui pourtant ne pourraient pas expliquer pourquoi je l'aime autant.
J'ai peur de ce que je peux dire, car peut-être je suis totalement à côté du vrai. Je pourrais dire qu'avec V., comme jamais, je me sens respectée, acceptée, aimée... mais peut-être qu'il me ment.
Depuis deux ou trois semaines, je m'entends bien, franchement, oui, bien, avec K. qui est dans la section d'A. et qui s'était amusée toute l'année à me contredire tout le temps...
Il y a deux ans (deux ans, déjà, deux ans), elle et son copain, je disais la Belle et la Bête, méchante que je suis, que j'étais, je ne sais plus. Jolie, elle l'est K., et même, quand elle et A. se mettent à parler de sujets d'initiés qui me dépassent, biochimie, fesses de leurs assistants d'informatique, ou autre, je m'occupe à la regarder. Même si elle ne m'attire pas, je trouve à admirer parfois.
A. dit : "Luce regarde beaucoup les filles.". Je ne l'ai jamais caché. V. qui loge sa tête entre mes seins, je l'envie, je voudrais être à sa place. Et pas seulement. Aimer vraiment une fille, je ne sais pas. Avoir envie de faire l'amour à une femme, oui, mais l'aimer vraiment, je ne sais pas.
Des envies de voyager. De dire que ceux qui ont le plus peur de mourir sont ceux qui vivent le moins, et de prendre l'avion sans me poser de questions. De citer Mano Solo : "Qui n’échangerait pas cent ans d’ennui contre trente-cinq ans de vie ?".
Et C. qui m'a fait écouter son cd des Cowboys Fringuants l'autre jour. C'est bien.
Le copain de ma soeur qui va m'aider un peu en physique en me faisant faire des oraux d'entraînement.
Pour en revenir à la même conclusion : ma vie actuelle j'l'aime bien. J'y tiens comme elle est. Je veux pas qu'elle change.
Ce canton, c'est, en cumulant, l'endroit où j'ai le plus vécu. De dix à quatorze ans, puis de dix-neuf à vingt-et-un. Et c'est sans doute l'endroit où j'ai envie de rester. Même si je n'en suis pas. Même si quand V. me dit que j'ai batoyé toute la nuit, faut que je réfléchisse pour savoir ce qu'il a voulu me dire, même si des fois quand il me dit quelque chose, avec son accent j'y comprends rien.
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