15 mars 2006

Le cours d'histoire économique et sociale où l'on va parler de mondialisation, je sens qu'il va me plaire. Chut... Il ne faudra pas le répéter trop fort, mais je prends un plaisir fou à prendre en notes des choses faciles que je comprends, plutôt que de recopier le tableau à toute vitesse en remettant le moment de la compréhension à la pause de midi...

J'aime pas l'analyse et encore moins la physique, mais ça ne semble pas avoir quoi que ce soit d'extraordinaire.
Après deux journées de cours, deux longues journées de huit heures chacune, mes yeux se ferment tous seuls.
Huit heures et demie et j'ai déjà envie d'aller dormir.
J'essaie de faire un planning raisonnable répartissant intelligemment mon temps pour tous le semestre. Je suppose que dormir d'avantage ne peux que me rendre plus efficace, qu'une heure de sport au moins ne peut me faire que du bien, qu'il faut que je reste à la bibli au moins trois soirs par semaine, que je ne manque aucune séance d'exercices et que j'y pose les questions nécessaires...
J'ai l'impression d'être comme devant la piste de course du bac. Cinq-cent mètres qui en paraissent dix fois plus à s'envoyer trois fois, et auxquels je croyais chaque fois ne pas devoir survivre, qui finissaient toujours derrière moi. Un mois de juin trop chaud mais pas suffocant, un peu venteux, et le soleil derrière la ligne d'arrivée, la masquant, laissant craindre sa disparition.
J'en rêve encore.

(Lendemain matin)