14 avril 2007

Cooooooonne. J'ai à moitié largué V.. Oui, le V., celui que je connais depuis un an demain, celui dont je suis la copine depuis presque un an. Celui dont je suis amoureuse, accessoirement.
J'ai dit, sans vraiment savoir réellement pourquoi : "Faudrait qu'on se voit dimanche si possible pour toi, on doit parler.". Je pensais pas qu'il me dirait : "En résumé tu veux me larguer dimanche, c'est ça ?". Débile, je le maintiens. Je débile, pas lui. Faudrait que j'apprenne à parler explicitement, à dire, y'a deux trois trucs qui vont plus entre nous et qui me mettent hors de moi, oh, trois fois rien, on en parle, tu essaies de comprendre pourquoi je me mets dans des états pareils, après, tu en profites pour me dire ce que toi tu trouves qui ne va pas, puis on fait un gros câlin, et c'est fini.
Ah ah ah. Mais ça tient pas dans un sms, ça dépasse le coup de tête.
Pas vraiment dormi de la nuit. Nerveuse, mes nerfs qui battaient, tantôt dans l'épaule droite, tantôt dans la fesse gauche, m'ont secouée toute la nuit. On aurait pu me prévenir, que c'était vraiment les gros coups de stress qui foutaient dans cet état-là, parce que je n'en savais rien, et que très longtemps ça m'a salement flippée.

J'ai rêvé qu'on partait, A. et moi, en pèlerinage avec une tente de camping, alors que ni l'une ni l'autre ne sommes à mon avis fanatique du camping. Mes frayeurs concernaient l'eau courante et la batterie de mon natel. Avant de partir, nous allions dans le nouvel appartement de C., qui vivait en collocation, et tentait de me caser avec un de ses collocs, que je repoussais puisque je lui disais qu'un copain, j'en avais déjà un, et que personne ne lui arrivait à la cheville.

Les trois épisodes de desperates housewifes que j'ai regardé avant d'aller me coucher ont aussi inspiré mes rêves. Probablement parce que quand je me suis endormie vers une heure du matin mon frère n'était pas encore rentré, alors qu'il m'avait dit qu'il serait là à 23h30. Quand les parents ne sont pas là, il en profite. Je devais être Bree dans mon rêve, et mon frère un de ses enfants, puis à la fin, il devenait la fille de Bree.

Ne plus regarder la télé. Jeter le natel à l'autre bout de la pièce quand une pulsion destructrice me prend.

Finalement, le positif, c'est que quand je lui ai répondu que rompre était la dernière de mes envies, il a dit que ça le rassurait. Une petite remise en question ne nous fera pas de mal, je crois. Et si, finalement, on se sépare, ça aura été une très belle année grace à lui.