Couchée à minuit et demie, endormie vers deux heures, j'ai pourtant réussi à me lever à 6 heures et demie pour aller recopier pendant deux heures des trucs assez incompréhensibles notés à la va-vite sur un rétroprojecteur par un chargé de cours peu explicite. Pas moyen de faire les exercices, second café puis bibliothèque où je me serais bien endormie si ça n'avait pas été le mercredi des sirènes. (http://http://www.bevoelkerungsschutz.admin.ch/internet/bs/fr/home/themen/alarmierung/sirenentest.html) D'ailleurs, c'est l'impossibilité de m'assoupir qui m'a fait partir, aux environs d'une heure et demie, vers mon lit, après un passage nécessaire à la Coop, mon estomac criant famine, et mon pain m'ayant été volé deux jours auparavant - je n'avais évidemment qu'à ne pas le laisser traîner.
La veille, l'observation attentive des préparations culinaires de mes colocataires (une trentaine dans la cuisine, y'a des foules d'idées à puiser, heureusement) m'a donné une subite envie de tortellinis aux épinards et à la ricotta (Coop Prix-Garantie, 850 grammes, 6 francs 40, cuisson deux minutes dans l'eau bouillante, conservation longue-durée, quantité suffisante pour tenir un siège) ; j'ai fait mes achats en mode automatique, et ce n'est que maintenant que je retrouve le ticket, et que je peux m'horrifier d'avoir payé 1.75 chf une misérable courgette.
Repas fini à 15 heures, j'ai dormi deux heures, et j'ai été incapable de reprendre mes révisions pour l'examen de demain.
Et puis, rien que d'imaginer la semaine prochaine, les bras m'en tombent : physique, beaux-arts, algèbre, puis un autre encore, mais des plus amusants...
L'examen sur le cours beaux-arts fait une tâche étrange dans le paquet, ça n'est pas des plus déplaisant, mais le temps pour préparer, sachant qu'il faut aller visiter une foultitude de sites web, risque de manquer. L'examen est plus ou moins un coucours. C'est un cours à choix, plus d'une dizaines de possibilités, on en teste 4 au cours de la première année, et il faut en choisir un pour la suite des études. Seulement 20 places pour beaux-arts, il faut montrer qu'on est vraiment motivé, qu'on a bien écouté le cours d'initiation, et surtout qu'on a quelque chose à apporter.
La veille, l'observation attentive des préparations culinaires de mes colocataires (une trentaine dans la cuisine, y'a des foules d'idées à puiser, heureusement) m'a donné une subite envie de tortellinis aux épinards et à la ricotta (Coop Prix-Garantie, 850 grammes, 6 francs 40, cuisson deux minutes dans l'eau bouillante, conservation longue-durée, quantité suffisante pour tenir un siège) ; j'ai fait mes achats en mode automatique, et ce n'est que maintenant que je retrouve le ticket, et que je peux m'horrifier d'avoir payé 1.75 chf une misérable courgette.
Repas fini à 15 heures, j'ai dormi deux heures, et j'ai été incapable de reprendre mes révisions pour l'examen de demain.
Et puis, rien que d'imaginer la semaine prochaine, les bras m'en tombent : physique, beaux-arts, algèbre, puis un autre encore, mais des plus amusants...
L'examen sur le cours beaux-arts fait une tâche étrange dans le paquet, ça n'est pas des plus déplaisant, mais le temps pour préparer, sachant qu'il faut aller visiter une foultitude de sites web, risque de manquer. L'examen est plus ou moins un coucours. C'est un cours à choix, plus d'une dizaines de possibilités, on en teste 4 au cours de la première année, et il faut en choisir un pour la suite des études. Seulement 20 places pour beaux-arts, il faut montrer qu'on est vraiment motivé, qu'on a bien écouté le cours d'initiation, et surtout qu'on a quelque chose à apporter.
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