17 avril 2006

Bah pas si dur que ça de lui souhaiter un bon anniversaire. Mais c'est un véritable étranger, celui que je décris habituellement comme étant mon premier amour – rêvé, car, pensez bien, les sentiments étaient à sens-unique. Il ne me fait plus peur. Mais il me fait toujours rire. Et je crois encore que c'est un type bien. Voir même très bien.
Cet été ça fera trois ans. Je crois que je commence à me remettre de la déception de n'avoir pas été assez bien pour lui plaire.
Les types bien sont plus difficiles à oublier que les connards, même si, concrètement, c'est le sale type qui a pris le plus d'importance.

Jamais j'aurais honte de dire que je l'ai aimé, lui.

(Lui, c'est le monsieur Nantais. C'est vrai que ça fait un bail. Cologne l'été 2003.)