Peut-être des endorphines plein le cerveau, c'est ce genre de journée merveilleuse où tout se passe si tant tellement trop bien que ça n'a pas l'air vrai.
Et puis, et puis et puis, j'ai eu un 4, alors, même si ça n'est que la moyenne, ça suffit à me faire sourire encore deux fois plus, et puis j'ai parlé à tout un tas de monde, et même si les copines de M. ne peuvent pas me voir je m'en tape, puisque je leur suggérerais volontiers d'aller se faire retirer les balais qu'elles ont dans le cul, si j'avais envie de je ne sais quoi.
Il m'écrit, des trucs gentils, tout gentils, dont je n'ai pas l'habitude, c'est presque gênant. Du bonjour le matin, au comment se passe ta journée, en passant par le bon appétit de midi, c'est indéfinissable, inconnu. Y'a forcément une couille dans le potage. Y'a forcément un truc qui va me tomber sur la gueule, tôt ou tard. Sans doute la chute imminente des endorphines, dont il ne reste déjà sûrement plus trace dans mon cerveau, mais qu'ivre de fatigue, vraiment réellement, je ne ressens pas encore.
Normalement, je le revois dimanche. Il semblait y tenir. Vous savez, c'est rien, et je sais que ça ne sera jamais rien, mais ma crainte de "tomber amoureuse" dit bien mon immaturité affective, tandis que mon envie de me satisfaire de ce qui viendra dans cette rencontre avec Ns. montre qu'en fait je fuis le "bonheur".
Les fêtes chez M., il faut en parler. Une A., une C., un I., un Mn, un As et moi en noyau habituel, ainsi qu'un ou deux collocs d'M. changeants, et les amies variables de M, aujourd'hui les deux miss à balais.
Les fêtes chez M., on s'y emmerde comme des rats crevés. Aujourd'hui, je m'y marrais toute seule, observant les gens : M. et I. se parlent, 2 collocs de M. se parlent, Mn. et As. se parlent, balai1 et balai2 se parlent, A. et C. se parlent et je me marre soudain sans raison apparente, n'ayant bien évidement bu aucune goutte d'alcool.
Avant les "fêtes" chez elle, M. me dit qu'il y aura Bidule et Machin qui évidement ont changé d'avis au dernier moment.
On ne parle de rien.
M. lance parfois des sujets qui font le tour de la table : "T'as le temps de faire du sport ?", "Tu te couches à quelle heure le soir habituellement ?", "Tu te lèves à quelle heure ?". I. balance cinéma, anims, politique..., A. change les sujets et le reste suit la tendance. Je dis les conneries qu'il faut ou pas, qu'elles soient vraies ou non : "Oui, du sport en chambre !" toujours facile, sinon, on ne comprend pas, "Alors, ça bosse fort ?" "Non, ça Dardanelles !" qui a fait un gros flop l'an passé, qu'on me ressort à l'envi, n'a toujours pas été compris par certains.
Les balais se la ferment. C'est pas donné à tout le monde de s'appeler "de Truc de Chose", il y en a une qui le fait bien sentir.
Heureusement, A. a eu l'idée géniale d'acheter des ballons de baudruche, on se les lance à la gueule, on se dessine dessus les uns les autres, on se crève, c'est mieux d'avoir six ans. Les balais ne jouent pas, aller savoir pourquoi elles sont là, au moins elles ont l'honnêteté de ne pas essayer de cacher leur ennui, ou essaient si mal que s'en devient flagrant.
Les fêtes chez M., j'y vais, pour le plaisir de voir que d'une année à l'autre, rien n'a changé, sauf l'un des chiffres de l'âge de l'hôtesse.
Et puis, et puis et puis, j'ai eu un 4, alors, même si ça n'est que la moyenne, ça suffit à me faire sourire encore deux fois plus, et puis j'ai parlé à tout un tas de monde, et même si les copines de M. ne peuvent pas me voir je m'en tape, puisque je leur suggérerais volontiers d'aller se faire retirer les balais qu'elles ont dans le cul, si j'avais envie de je ne sais quoi.
Il m'écrit, des trucs gentils, tout gentils, dont je n'ai pas l'habitude, c'est presque gênant. Du bonjour le matin, au comment se passe ta journée, en passant par le bon appétit de midi, c'est indéfinissable, inconnu. Y'a forcément une couille dans le potage. Y'a forcément un truc qui va me tomber sur la gueule, tôt ou tard. Sans doute la chute imminente des endorphines, dont il ne reste déjà sûrement plus trace dans mon cerveau, mais qu'ivre de fatigue, vraiment réellement, je ne ressens pas encore.
Normalement, je le revois dimanche. Il semblait y tenir. Vous savez, c'est rien, et je sais que ça ne sera jamais rien, mais ma crainte de "tomber amoureuse" dit bien mon immaturité affective, tandis que mon envie de me satisfaire de ce qui viendra dans cette rencontre avec Ns. montre qu'en fait je fuis le "bonheur".
Les fêtes chez M., il faut en parler. Une A., une C., un I., un Mn, un As et moi en noyau habituel, ainsi qu'un ou deux collocs d'M. changeants, et les amies variables de M, aujourd'hui les deux miss à balais.
Les fêtes chez M., on s'y emmerde comme des rats crevés. Aujourd'hui, je m'y marrais toute seule, observant les gens : M. et I. se parlent, 2 collocs de M. se parlent, Mn. et As. se parlent, balai1 et balai2 se parlent, A. et C. se parlent et je me marre soudain sans raison apparente, n'ayant bien évidement bu aucune goutte d'alcool.
Avant les "fêtes" chez elle, M. me dit qu'il y aura Bidule et Machin qui évidement ont changé d'avis au dernier moment.
On ne parle de rien.
M. lance parfois des sujets qui font le tour de la table : "T'as le temps de faire du sport ?", "Tu te couches à quelle heure le soir habituellement ?", "Tu te lèves à quelle heure ?". I. balance cinéma, anims, politique..., A. change les sujets et le reste suit la tendance. Je dis les conneries qu'il faut ou pas, qu'elles soient vraies ou non : "Oui, du sport en chambre !" toujours facile, sinon, on ne comprend pas, "Alors, ça bosse fort ?" "Non, ça Dardanelles !" qui a fait un gros flop l'an passé, qu'on me ressort à l'envi, n'a toujours pas été compris par certains.
Les balais se la ferment. C'est pas donné à tout le monde de s'appeler "de Truc de Chose", il y en a une qui le fait bien sentir.
Heureusement, A. a eu l'idée géniale d'acheter des ballons de baudruche, on se les lance à la gueule, on se dessine dessus les uns les autres, on se crève, c'est mieux d'avoir six ans. Les balais ne jouent pas, aller savoir pourquoi elles sont là, au moins elles ont l'honnêteté de ne pas essayer de cacher leur ennui, ou essaient si mal que s'en devient flagrant.
Les fêtes chez M., j'y vais, pour le plaisir de voir que d'une année à l'autre, rien n'a changé, sauf l'un des chiffres de l'âge de l'hôtesse.
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