Je ne reverrais sûrement plus monsieur prise de tête. Tant pis, ou tant mieux, je ne sais pas, sauf que j'aurais bien aimé baiser cette nuit.
C'est bien plus facile de s'en passer quand ça fait près de six mois qu'on est abstinente que quand on ne l'a pas fait depuis deux nuits.
D'un côté, il était chiant, il l'a même dit lui-même, et stupide aussi. Oui.
Il ne reste pas grand chose de tout ça, une histoire brêve qui m'a coûté plus qu'elle ne m'a apporté, je crois.
L'ennui, c'est qu'en ce moment, j'aimerais tellement avoir quelqu'un dans ma vie qu'il n'y a aucune chance que je trouve un type bien, et j'ai pas envie de m'abonner à faire des conneries avec des mecs ramassés sur internet.
Bref. Les endorphines sont loin, il faudrait que je fasse du sport à forte dose pour en retrouver. Le joueur d'accordéon d'à côté du métro ne me dira pas bonjour demain matin.
Merde alors.
Il m'a dit : "Si tu veux, j'vais te trouver un copain, tu vas voir." Et il souriait comme un imbécile, ce qui m'a permis de constater que ses dents étaient bien alignées.
Il a dit aussi : "Y'a ma voisine, elle est déprimée ces temps, je vais lui proposer de lui rendre le sourire.". Je me suis demandée en quoi ça devait m'intéresser.
Il a parlé encore de son ex : elle l'a larguée parce qu'elle trouvait qu'il regardait trop le sport à la télé.
J'ai pensé qu'elle avait eu raison.
Il m'a dit que s'il avait su avant qu'il n'était que le troisième, il ne se serait rien passé.
Il croyait que c'était pas la première fois que je baisais avec le premier venu. Il a dit que pour lui. j'étais un paradoxe très mystérieux et que non, je n'étais vraiment pas timide. Alors j'ai confirmé que je ne me connaissais pas, et que s'il culpabilisait d'avoir fait exactement ce que j'attendais de lui, il ne fallait pas, puisque je m'imputais huitante pour cent de part de responsabilités.
Je ne savais plus vraiment ce que je devais penser.
Je me suis dit, merci N. de m'avoir fait assimiler toute cette simplicité dans les relations.
Je me suis dit aussi, merci NS. de m'avoir fait voir que les mecs pouvaient se poser des question après avoir tiré un coup avec une fille qui ne demandait que ça.
Je ne lui plais sans doute pas plus qu'il ne me plaît, mais il y aura un avant et un après ces quelques heures avec lui, puisque j'ai découvert qu'il existait des garçons gentils.
C'est bien plus facile de s'en passer quand ça fait près de six mois qu'on est abstinente que quand on ne l'a pas fait depuis deux nuits.
D'un côté, il était chiant, il l'a même dit lui-même, et stupide aussi. Oui.
Il ne reste pas grand chose de tout ça, une histoire brêve qui m'a coûté plus qu'elle ne m'a apporté, je crois.
L'ennui, c'est qu'en ce moment, j'aimerais tellement avoir quelqu'un dans ma vie qu'il n'y a aucune chance que je trouve un type bien, et j'ai pas envie de m'abonner à faire des conneries avec des mecs ramassés sur internet.
Bref. Les endorphines sont loin, il faudrait que je fasse du sport à forte dose pour en retrouver. Le joueur d'accordéon d'à côté du métro ne me dira pas bonjour demain matin.
Merde alors.
Il m'a dit : "Si tu veux, j'vais te trouver un copain, tu vas voir." Et il souriait comme un imbécile, ce qui m'a permis de constater que ses dents étaient bien alignées.
Il a dit aussi : "Y'a ma voisine, elle est déprimée ces temps, je vais lui proposer de lui rendre le sourire.". Je me suis demandée en quoi ça devait m'intéresser.
Il a parlé encore de son ex : elle l'a larguée parce qu'elle trouvait qu'il regardait trop le sport à la télé.
J'ai pensé qu'elle avait eu raison.
Il m'a dit que s'il avait su avant qu'il n'était que le troisième, il ne se serait rien passé.
Il croyait que c'était pas la première fois que je baisais avec le premier venu. Il a dit que pour lui. j'étais un paradoxe très mystérieux et que non, je n'étais vraiment pas timide. Alors j'ai confirmé que je ne me connaissais pas, et que s'il culpabilisait d'avoir fait exactement ce que j'attendais de lui, il ne fallait pas, puisque je m'imputais huitante pour cent de part de responsabilités.
Je ne savais plus vraiment ce que je devais penser.
Je me suis dit, merci N. de m'avoir fait assimiler toute cette simplicité dans les relations.
Je me suis dit aussi, merci NS. de m'avoir fait voir que les mecs pouvaient se poser des question après avoir tiré un coup avec une fille qui ne demandait que ça.
Je ne lui plais sans doute pas plus qu'il ne me plaît, mais il y aura un avant et un après ces quelques heures avec lui, puisque j'ai découvert qu'il existait des garçons gentils.
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