27 mai 2009

Mon amoureux est chouette des fois (enfin presque tout le temps), surtout quand il me ramène dans la vraie réalité du vrai monde quand je me perds bêtement n'importe où hors du domaine raisonnable. Mon amoureux remet chaque chose à sa place. Mon amoureux recentre les choses. Ce garçon est terriblement pragmatique, ce qui peut le rendre odieux parfois, et surtout, quand il me solicite pour un conseil, j'ai envie de lui rire au nez.
Pour la vraie vie, je sais conseiller ma soeur qui est toujours à côté de la plaque, ma colloc un peu idiote, mais mon amoureux ahahah. Déjà que mes problèmes risibles sont des montagnes insolubles, alors ceux de mon amoureux... euhhhh est-ce que tu dois changer de travail ??? Euh...
(Bon, à la fin, il a fini par prendre une décision. C'était il y a un an, ça semble il y a 3 siècles.)

Je n'ai toujours pas l'absolu controle de ma vie, j'ai encore souvent l'impression de la laisser me glisser entre les doigts telle l'asticot de base.
Les choses avancent seules j'ai souvent le sentiment. D'opportunités en opportunités, le hasard joue souvent pour moi, si bien que quand je n'attrappe une éventualité, je me questionne.
Des fois, la chance est pour moi. Quand ma mère dit, le lundi "trouve toi un travail", et que le mardi, le travail arrive tout seul sur un plateau...

25 mai 2009

A chaque fois que j'entends "chômage partiel", et que les chefs d'entreprises expliquent que c'est le seul moyen de sauvegarder des emplois, je me demande comment, il n'y a pas si longtemps que ça, quelqu'un a pu croire que "Travailler plus pour gagner plus", c'était possible. Partager le travail pour que tout le monde puisse bouffer, c'est plus réaliste. Résultat, finalement, on peut dire que les plus grands utopistes sont de droite.