26 septembre 2006

J'AI REUSSI !!! en fait.


Téléphone ce matin : "En fait, on a été un peu rapiddes à vous communiquer votre note, mais avec l'arrondi, vous avez 4 de moyenne et allez recevoir le certificat dans les jours à venir.".
Et j'ai failli pleurer. Une réussite médiocre, qui ne me semble pas représentative du travail que j'ai fourni, mais je ne peux m'en prendre qu'à moi. Travail non efficace, panique aux examens.
Donc on continue dans cette voie. On se ré-inscrit aux cours pour l'an prochain, et on décide aussi de repasser, en même temps, le bac au cned, histoire d'assurer les arrières.

Contente. Mais épuisée. Vidée.

Et maintenant le V. qui veut que je décide où j'aimerais partir en vacances. Il est optimiste s'il espère vraiment que je vais trouver une idée.

25 septembre 2006

ECHEC...

A 0.25 près...

L'heure de renoncer aux études scientifiques, et d'arrêter de pleurer peut-être. Même si je sais bien que je n'ai pas fini, qu'il m'en reste des larmes de déception à faire couler.

Merde, merde, merde, merde...

Vous avez des idées ? Qu'est-ce qu'on peut faire comme études, en Suisse, quand on a un bac français économique et social, obtenu avec la pathétique moyenne de 11.73 (à 0.27 près...) ?

Direction orienteur...


Et moi, je vais dormir, parce que maintenant, il ne me reste plus grand chose d'autre à faire.


C'que ça m'fait mal, d'être aussi nulle...
RHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARGGGGGGGGGGG


Sale connasse.

Et même pas moi.

(Ceci me démangeait beaucoup.)
J'ai peur.

J'ai très très peur.

C'est comme si j'étais devant une falaise séparée d'une autre par un gouffre, disons de cent cinquante centimètres, quelque chose, donc, au-dessus de quoi j'ai les possibilités de sauter. Je peux le faire, je peux y arriver. Mais je serais suicidaire, imaginez, sauf que j'aurais pas envie de mourir. Et donc je prendrais mon élan, et personne, même pas moi, ne pourrait prévoir l'issue de mon bond.
C'est comme ça maintenant. Je vais y aller, je vais prendre une grande respiration et je vais sortir tout ce dont je me souviendrais, et on verra bien.

Si je plante, c'est vrai, je n'ai aucune possibilité.

A tel point, que mes parents ont peur que la falaise, ou le pont, ou que sais-je, en cas d'échec, je m'en précipite. Suis donc priée de rentrer à la maison après l'examen.

23 septembre 2006

Deux coups de pschitt du flacon "Exam" dans un verre d'eau, je sirote. S'il y a un effet, je n'en jurerais pas. Juste, ça me fait plaisir puisque c'est lui qui me l'a acheté. Il est gentil, lui.

J'écoute Neil Young, parce que ça me fait penser aux vacances, au vent qui souffle, au bateau qui gite, à ma mère qui crie, aux sommets des vagues, la retombée dans le creux qui s'annonce et aux embruns qu'on espère.
Et on reprend. Expliquer aux murs les principes de la thermodynamique, le fonctionnement d'un moteur diesel et évocation d'une machine parfaite, cycle de Carnot... Réciter d'une traite à la fenêtre les formules des multiples d'angles... Démontrer à mon oreiller le lien entre dérivée seconde et concavité.

Envisager doucement, de loin en loin, les solutions en cas d'échec, et se rappeler parce que même si je sais que je pourrais vivre sans lui ça fait du bien au coeur, le sms de mon amoureux l'autre jour : "Et même si par malheur tu devais louper, je suis sûr qu'on arrivera à trouver un moyen pour rester ensemble. Ne t'inquiète pas pour ça.".

Les Cowboys Fringants - Hannah

Hannah est toute seule
Avec sa mélancolie
Recouverte du linceul
Dans lequel on a mis sa vie

Elle écoule les jours
Dans une solitude lunaire
Le coeur comme un poids lourd
Qui s'engloutit dans sa misère

Elle passe ses soirées
À niaiser sur internet
Avec des paumés
Qui lui verront jamais la bette

Elle parle un p'tit peu d'elle,
Du monde et parfois même de cul
A'ec ses chums virtuels
Qui resteront des inconnus...

Je l'ai croisée une soirée
Où j'étais un peu blasé...

J'l'ai écouté m'jaser
De son enfance douloureuse
Où on l'a écrasée
Même si c'tait loin d'être
Une niaiseuse

De ses vieux un peu chiants
Qui n'ont fait que la barouetter
Et de sa chère grand-maman
Chez qui elle a été élevée

Dans un quartier d'la ville
Où elle vivait introvertie
A' s'entait inutile
Et n'avait presque pas d'amis

Partait parfois l'été
À la campagne quand 'était flo
Où les beaux ciels étoilés
Lui illuminaient le cerveau

Mais son regard d'enfant
Est parti depuis longtemps...

Ving-six ans et perdue
Toujours plus désillusionnée
Elle vient qu'elle ne sait plus
À quelle connerie se raccrocher

Elle avait commencé
Un cours en secrétariat
Mais elle l'a vite lâché
Voyant qu'ça l'interessait pas

C'qu'elle aurait bien voulu
C'est travailler avec les gens
Les malades, les exclus
Ceux qui n'ont jamais eu de chance

Si elle avait confiance en elle
Autant qu'elle a de coeur
Tout son grand potentiel
S'rait là pour semer du bonheur

Mais quand on t'a brisé
La vie est ben plus malaisée...

Elle espère qu'un m'ment d'né
Elle pourra lever le voile
Sur ces sombres années
Et enfin revoir les étoiles

Elle dit qu'la solitude
C'est quecqu'chose d'assez déprimant
Qu'ça d'vient une habitude
Mais qu'on s'y fait jamais vraiment

Si les étoiles reviennent
J'te jure que je te les décroches
Et pour apaiser ta peine
J'en glisserai une dans ta poche

En attendant dors bien
On se reparle demain...


Chanson de dépressif diraient beaucoup. Moi elle me touche.

21 septembre 2006

Hier soir je suis rentrée chez mes parents souper. Rien n'avait changé, on se demandais toujours si quelqu'un était arrivé à pied par la Chine ; raffiné, on vous le dit, comme il y a six semaines quand j'y ai passé une journée. Enfin, une nuit.
V. fait tout ce qu'il peut pour m'enlever mon stress, pour me rassurer. C't'un ange ce garçon.
Et moi je me demande toujours ce que j'ai bien pu faire pour qu'il m'aime autant.
Lundi, Anthropole je ne sais pas quel numéro, que j'ai mis longtemps à comprendre que c'était en fait l'ancien Humense où j'avais passé l'épreuve de maths l'an dernier, quand, encore pour quelques instants, on l'appelait BFSH. J'avais pas suivi son re-renomage.
Donneront-ils les résultats juste après les oraux ?
Et sinon, rien. Lundi. Dans un, deux, trois, quatre jours, peux pas compter sur mes doigts je tape avec.

19 septembre 2006

J'ai besoin de parler, mais je ne sais pas à qui. Y'a pas grand monde qui voudrait m'écouter... Tu m'écoutes, toi ? ça va pas. J'ai peur, et je suis fatiguée. A. m'évite, ou me fait la gueule, mais j'sais pas pourquoi.
Je peux te dire, c'était mon meilleur été depuis longtemps. Etrange, hein ? C'est vrai qu'il était un peu triste. J'ai quitté ma bibliothèque pendant deux semaines seulement. J'ai eu la chance de ne presque jamais y être seule. ça participe du meilleur.
Je me dis, ce soir, un bon repas, équilibré et une bonne nuit de sommeil, seule dans mon lit qui me paraîtra vraiment trop grand, ça arrangera bien des choses. On verra.
Me poser des questions sur V. et moi, j'ai compris, c'est pour me éviter de m'en poser d'autres, plus importantes, en fait c'est divertissant. Quoique, je n'en doute pas, il y en a à se poser sur V. et moi. L'avenir, mon avenir. Celui du monde, je m'y intéresserait bien, mais c'est trop désespérant. Si V. me parle encore de vacances, c'est qu'il veut encore rester avec moi, non ? Et un Je t'aime, combien de temps ça dure ? est-ce qu'on peut faire la connerie de le considérer comme une assurance ? Tout les combien de temps doit-elle être renouvelée ?
Tu vois, tu vois comme j'élude ? Je ne peux pas me poser les bonnes questions. L'avenir. Et je fais quoi si je me plante ? Je deviens quoi ? C'est important, mais je ne veux pas y penser. Et je me dis aussi, si je réussis, c'est vraiment ce que je veux ? Devenir ingénieure ? Les deux questions sont pénibles. Parce que si je suis en train de complètement me tromper de voie, l'échec m'en sortirait peut-être, mais pour faire quoi ? Et comment, puisque je n'ai aucun papier valable ?

Moi, V., je pourrais lui dire toi tu te débrouilles bien dans la vie, affirmer, toi tu as trouvé le mode d'emploi, et si je t'aime, si je t'aime tant, c'est parce que sans le dire, je nourris l'espoir que tu me le fasses partager.
ça te semble logique, n'est-ce pas, on aime ceux dont on pense qu'on a quelque chose à apprendre. Et moi, moi, je ne vois pas ce qu'il espère que je lui enseigne, je ne vois pas pourquoi il m'aime, et de suite, si je ne comprends pas, je ne peux pas y croire.
L'entendre dire : "C'est difficile d'aimer quelqu'un qui ne s'aime pas ; tu ne me facilites pas la tache.". Et prendre conscience que son amour ne coule pas de source, que l'entretenir est nécessaire. Fragilité qui ébranle quand on avait eu la naïveté de croire qu'on allait pouvoir s'asseoir sur ces sentiments sans craindre d'éboulement.
Divergences, disputes, peines causées pour des conneries, incompréhension de part et d'autre qui me font peur. Peur aussi de ce moi qui pourrait le faire fuir. Sans doute un risque à prendre. Peut-être ce qu'il faut que j'apprenne : il n'y a pas de vie sans risque, il n'y a pas de vie sans questions sans réponses.
Lâcher prise. Etrange nécessité quand par ailleurs mon indolence est l'un de mes pires défauts. Accepter qu'il soit très différent de moi et moi de lui. Accepter qu'on ne puisse pas y faire grand chose. Accepter.

15 septembre 2006

J'aime V. et c'est bien justement ce pour quoi j'ai peur que ses sentiments changent.
V. a un joli prénom.
V. a de belles mains.
V. est quelqu'un avec qui faire l'amour est très bien.
V. me fait rire.
V. est gentil. Enfin, pas gentil péjoratif. Attentionné. Attentif.
Je ne me demande jamais s'il a un cerveau.

Je peux continuer ainsi des heures.
Mais vous savez bien, la liberté d'expression un peu censurée par le fait qu'il puisse peut-être lire. Alors V. est, V. a, mille choses de plus qui pourtant ne pourraient pas expliquer pourquoi je l'aime autant.

J'ai peur de ce que je peux dire, car peut-être je suis totalement à côté du vrai. Je pourrais dire qu'avec V., comme jamais, je me sens respectée, acceptée, aimée... mais peut-être qu'il me ment.


Depuis deux ou trois semaines, je m'entends bien, franchement, oui, bien, avec K. qui est dans la section d'A. et qui s'était amusée toute l'année à me contredire tout le temps...
Il y a deux ans (deux ans, déjà, deux ans), elle et son copain, je disais la Belle et la Bête, méchante que je suis, que j'étais, je ne sais plus. Jolie, elle l'est K., et même, quand elle et A. se mettent à parler de sujets d'initiés qui me dépassent, biochimie, fesses de leurs assistants d'informatique, ou autre, je m'occupe à la regarder. Même si elle ne m'attire pas, je trouve à admirer parfois.

A. dit : "Luce regarde beaucoup les filles.". Je ne l'ai jamais caché. V. qui loge sa tête entre mes seins, je l'envie, je voudrais être à sa place. Et pas seulement. Aimer vraiment une fille, je ne sais pas. Avoir envie de faire l'amour à une femme, oui, mais l'aimer vraiment, je ne sais pas.

Des envies de voyager. De dire que ceux qui ont le plus peur de mourir sont ceux qui vivent le moins, et de prendre l'avion sans me poser de questions. De citer Mano Solo : "Qui n’échangerait pas cent ans d’ennui contre trente-cinq ans de vie ?".

Et C. qui m'a fait écouter son cd des Cowboys Fringuants l'autre jour. C'est bien.

Le copain de ma soeur qui va m'aider un peu en physique en me faisant faire des oraux d'entraînement.

Pour en revenir à la même conclusion : ma vie actuelle j'l'aime bien. J'y tiens comme elle est. Je veux pas qu'elle change.

Ce canton, c'est, en cumulant, l'endroit où j'ai le plus vécu. De dix à quatorze ans, puis de dix-neuf à vingt-et-un. Et c'est sans doute l'endroit où j'ai envie de rester. Même si je n'en suis pas. Même si quand V. me dit que j'ai batoyé toute la nuit, faut que je réfléchisse pour savoir ce qu'il a voulu me dire, même si des fois quand il me dit quelque chose, avec son accent j'y comprends rien.

12 septembre 2006

Je lui ai refilé mon rhume. Pourtant il avait survécu à ma grippe du mois de mai. Je me sens bien embêtée.

Mais peut-être aussi qu'il l'avait mérité. Me faire pleurer une fois en quatre mois, c'était déjà une fois de trop, et si ça devient une fois par semaine, ça sera plus possible.
Lui peut-être que ça le fait rire de faire semblant d'être traumatisé par l'une ou l'autre des conneries que j'ai pu faire, puis de dire, comme ça, comme si c'était de ma faute : "Je m'en vais. Bonne nuit !", mais moi, ça me fait pleurer. Enfin, presque, je sais me retenir. S'il disait simplement qu'il rentre chez lui, parce qu'il est fatigué, qu'il a envie d'être seul, ou pour n'importe quelle autre raison, je le laisserais partir, tranquillement, après l'avoir embrassé et m'être un peu serrée contre lui parce que je suis bien près de lui, que sa présence, sa consistance, son odeur, tout ça, me rassurent, m'apaisent.
Je sais que je tiens trop à lui, au point que le moindre de ses petits jeux à la con me rend malade, m'effraie, me laisse complètement perdue face à la réaction à adopter.
L'indifférence, une fois, j'y ai joué, résultat, il est parti, enfin, il est allé s'asseoir sur l'escalier, et je suis prête à parier qu'il aurait été tout aussi emmerdé que moi si j'avais pas fini par sortir de ma chambre pour aller aux chiottes.
J'aime pas qu'il me force à ça, à ne pas pouvoir retenir mes larmes, à pleurer pour qu'il reste, à m'humilier comme ça. Après ça j'ai honte. Et ensuite presque envie de m'excuser de ma réaction (est-ce vraiment disproportionné de montrer qu'on est pas contente que celui qu'on aime s'en aille sans un regard comme si on en valait pas la peine ?) à la détestable torture qu'il m'inflige.

Et pour entendre, le lendemain, si t'avais pas bossé aussi tard, je t'aurais invitée au resto.


Honte de poster un truc pareil, parce que c'est pathétique, et que vu comme ça c'est un odieux jeu avec mes sentiments auquel il se livre. Alors, c'est à se demander comment je peux encore l'aimer, comment je peux accepter ça, et faire l'amour après, accepter son "Je t'aime." alors qu'il ne voit même pas l'utilité de s'excuser, et ne se rend pas compte que peut-être, il n'a pas été très correct avec moi.

Mais pourquoi il fait ça ? Pourquoi il ne se rend pas compte que moi je trouve pas ça drôle ?

J'veux plus devoir lui dire non, non, tu pars pas. J'veux plus devoir le supplier presque. J'veux qu'il parte quand il veut, mais normalement, pas comme s'il s'en allait pour ne plus jamais me revoir, pas comme s'il s'en allait parce que j'aurais commis une faute impardonnable, ... .
J'veux plus qu'il joue avec mes sentiments, j'veux plus qu'il joue avec mes nerfs soumis déjà à rude épreuve.
Et je comprends pas. Parce que s'il m'aime, comme il l'a dit plus tard, comment peut-il trouver amusant de faire des trucs qui, il le voit bien, me blessent autant ?

06 septembre 2006

Y'a un éléphant assis sur mon ventre. Un gros, tout gris et avec un surpoids assez conséquent. Il prend ses aises. Des fois il se sert de mes seins comme coussins, et moi je ne peux plus respirer.
C'est très pénible.

C'est ma vie telle que je la connais aujourd'hui qui disparaît avec un échec. Le vide, le manque, tout ça, j'en ai une peur attroce. Me planter, c'est faire table rase, effacer tout ce qui compte aujourd'hui, tout ce qu'avec un peu de persévérance j'ai construit.
C'est pas comme si j'avais à me dire : "C'est pas grave, au pire je ferais ceci, ou cela...", non non, si j'échoue, il n'y a rien, et ne restera plus rien, à part que je ne pourrais plus me regarder dans le miroir tellement j'aurais honte. Ce qui n'est pas non plus une activité, puisque si je ne peux plus me regarder autocentriquement dans le miroir, je vais sérieusement m'emmerder.
Y'a un éléphant assis sur mon ventre. Un gros, tout gris et avec un surpoids assez conséquent. Il prend ses aises. Des fois il se sert de mes seins comme coussins, et moi je ne peux plus respirer.
C'est très pénible.

C'est ma vie telle que je la connais aujourd'hui qui disparaît avec un échec. Le vide, le manque, tout ça, j'en ai une peur attroce. Me planter, c'est faire table rase, effacer tout ce qui compte aujourd'hui, tout ce qu'avec un peu de persévérance j'ai construit.
C'est pas comme si j'avais à me dire : "C'est pas grave, au pire je ferais ceci, ou cela...", non non, si j'échoue, il n'y a rien, et ne restera plus rien, à part que je ne pourrais plus me regarder dans le miroir tellement j'aurais honte. Ce qui n'est pas non plus une activité, puisque si je ne peux plus me regarder autocentriquement dans le miroir, je vais sérieusement m'emmerder.

04 septembre 2006

http://anonymouse.org/anonwww.html <- haha... Mais en fait ça marche très mal. Pas que je soupçonne, mais que j'ai des preuves.
Suis sûre qu'il aurait pu faire mieux. Ou le faire à découvert sinon, j'lui en aurait pas plus voulu.
Mais faudrait pas que ça devienne une habitude, hein.

Mal au ventre, stress par intermitence. Genre, panique pendant cinq minutes, deux heures de calme, et ainsi de suite.
Envie de dormir pendant 3 jours d'affilée, et de me réveiller l'examen passé. Le faire en dormant, comme j'étudie des fonctions, résous des équations trigonométriques, cherche des lieux géométriques et étudie la distribution de populations diverses.
Encore deux jours d'angoisse, à faire, refaire, recomprendre, comprendre mieux ces foutus exercices, puis allez s'assoir dans une salle d'examen et se délester de tout ça.

Le plus important en ce moment, ce n'est plus d'avoir peur qu'il ne m'aime plus, ni même de douter de ce qu'il dit. Même si c'est bien de le dire parfois, il faut aussi le montrer (mais suis pas un exemple en la matière, c'est certain)... Non non, le plus important c'est d'avoir 5 en maths, 5 au moins.

Et puis si quelqu'un sait comment on fait pour se coincer accidentellement un doigt dans une portière de voiture, qu'il soit assez gentil pour expliquer à l'index de ma main droite que je n'ai pas fait exprès de lui faire mal ; moi il ne veut pas me croire.